Lorsqu’on se promène le long du Saint-Laurent, question de trouver les plus beaux points de vue sur le fleuve, il arrive que l’on croise la route d’animaux forestiers.
Ce jour-là, c’est une gélinotte qui est venue nous saluer.
On sentait bien son stress. On croyait que c’était notre présence qui la dérangeait, elle, et ses quatre ou cinq poussins.
Hé bien non! Elle craignait bien davantage le faucon qui trônait au sommet d’un arbre qui se trouvait tout juste à côté de nous et qui avait l’oeil sur sa progéniture.